\°Nerewyn°/ Bonne lecture...

Nom : Gleyra

Prénom : Nerewyn

Age : Sais plus

Race : Ange

Sexe : Masculin

Préférences : hétéro

Caractère : C’est une personnalité assez contradictoire. Nerewyn est un homme agréable et de tempérament calme voir passif en temps normal. En effet très catégorique, cela lui vaut une tendance autoritaire, qui aime donner des ordres qui se veulent par la suite exécutés. On pourrait tirer de là sa certaine fierté, qui reste toutefois un orgueil modéré ; il ne regarde pas les gens de haut et, méprisant la médiocrité, il reste cependant tolérant sur certains points. Légèrement, voir vraiment vaniteux, il n’est pourtant guère avide d’attirer l’attention sur lui et reste généralement discret. Il possède un certain culot, se révélant être trop franc, même s’il ne s’en rends pas compte, en effet il donne l’apparence de ne pas se rendre compte de son comportement c’est ici que se révèle son talent de dissimilation innée ; et n’ayant aucunement peur de défier ses supérieurs (y’en a pas vraiment mais bon) ou de transgresser un règlement (normal c’est quasiment tous les siens XD). Ce n’est pas pour autant un indiscipliné, mais disons qu’il agit selon son instinct et sans se soucier des conséquences, pouvait ainsi paraître égoïste à certains égards.
De là, il reste néanmoins un homme sociable et souriant, qui n’aide jamais son prochain, pas qu’il soit radin, mais un gros flemmard. Ne jugeant aucunement les gens sur leur apparence, il haït l’injustice et en est ainsi une personne loyale qui possède des principes qu’il ne violera jamais. Protecteur, de ce caractère défendeur découle son courage qui se transforme de temps à autre en intrépidité. Il s'énerve rarement, mais ses colères sont ravageuses et il est très rancunier, ne pardonnant que bien rarement (Si vous vous demandiez d’où Méhona tenait son coté rancunier ^^). Mystérieux, Nerewyn semble avoir un certain plaisir à faire languir les gens, à les voir patienter. Il entretient assurément son côté énigmatique, et c'est ainsi que les gens savent très peu de choses sur lui, tant de ses pensées que de ses projets. Il est fidèle et dévoué envers sa famille, mais son entière confiance reste terriblement difficile à acquérir, il l’a accordé à ses alliés de toujours tels que Senek ainsi qu’à sa plus jeune sœur, qui même si elle n’a pas totalement la même vision des choses que lui, ne le trahira jamais (même si elle le déteste pour certains de ses agissements). Nerewyn est aussi quelqu'un de déterminé, ce qui peut-être sa principale qualité comme son principal défaut. En effet, il n'a pas froid aux yeux et quand il a décidé quelque chose, il ira toujours jusqu’au bout…même à l'extrême (Dieu sait quelles sont les limites de cet extrême là).

Physique : Mesurant 1m95, sa musculature est développée tout en gardant un corps mince. La lignes de son corps sont bien dessinées comme ses abdominaux qui son relativement bien marqués. Il est pratiquement imberbe sur tout le corps. La peau très légèrement blanche, il a quelques grains de beauté ci et là ainsi que quelques cicatrices sur le dos. Ses cheveux couleur ébène sont épais et rebelles, tombant en dégradé sur ses épaules en encadrant un visage triangulaire, aux traits fins qui lui donnent une allure efféminée. En effet, bien que son corps soit indéniablement celui d’un homme, son visage est à des tendance androgyne, heureusement virilisé par ses mimiques typiquement masculines. Les sourcils noirs et bien marqués, les oreilles légèrement pointues, il a un nez droit et des lèvres fines. Ce qui se remarque le plus chez lui, ce sont ses superbes yeux bleus en amande. Ils sont d’une couleur profonde, aux pupilles légèrement azurées. Ils brillent d’une lueur malicieuse, singulière, et beaucoup disent que son regard est plus que dérangeant.


Histoire : Nerewyn fut le premier Gleyra crée mais ses créateurs, ou parents comme on doit les nommés ne l’ont jamais élevé, ils l’ont confié à une famille d’humain pitoyable que le garçon détesta toute sa vie. Mais laissez moi vous raconter cette triste histoire qui forgea un partie du caractère de l’ange.

Sarah Duchâteau et Pierre Patinkin ne s'aimaient pas. Elle était jeune, à peine âgée de 20 ans ; charmante et douce demoiselle en fleur, ses parents avaient, pour la riche fortune des Patinkin, obligé leur fille à quitter son réel amour et à épouser cet aisé descendant. Lui se trouvait assez âgé par rapport à son épouse : passé les 50 ans, fort cultivé mais aussi peu attirant, il n'avait jamais eu de femmes dans sa vie. S'il se mariait, c'était en son propre intérêt et seulement pour voir un héritier et ne pas voir la grande famille des Patinkin s'éteindre. Mariage arrangé, mariage forcé, les deux s'unirent un 17 Mars, dans une cérémonie froide et peu enthousiaste.

La jeune mariée tomba presque aussitôt enceinte. Au grand plaisir de son époux, c'était des garçons, des jumeaux. Ils naquirent un soir d'hiver, alors que le vent fouettait les carreaux, la neige tombant en masse sur le sol blanc. Le premier, très blond, avait hérité tout le physique de son père, tandis que le second, aux cheveux d’ébène, avait acquit les traits fins et harmonieux de sa mère. On les appela respectivement Alexandre et David. Malgré cette union qui la répugnait, Sarah aimait ses deux enfants comme une vraie mère, contrairement à Pierre, qui ne voyait un eux que de simples objets assurant sa descendance. Il s'accapara aussitôt le premier né, dit l'aîné ; Alexandre fut donc principalement élevé par son père, David par sa mère, et les deux jumeaux furent donc très vite séparés, n'ayant pas la si grande complicité qui unissait normalement deux êtres issus d'une même cellule. Ce qui s’expliquait bien sur par le fait que le vrai David était mort né et qu’il avait été substitué par Nerewyn à la naissance. Mais cette information n’était connu de personne, le secret étant gardé par les dieux eux même.

Malgré l'amour que lui portait sa mère, Alexandre devient bientôt totalement indépendant de son père, étant à présent aussi présomptueux que lui. Sarah remettait donc toute sa tendresse sur David, celui-ci n'intéressant guère à Pierre : ce fut donc son épouse qui s'occupa de ce second enfant, lui apprenant à lire, à écrire, à bien se tenir. Elle était une mère exemplaire, délicate, gentille, compréhensive : le genre de mère que tout enfant rêverait d'avoir. David, pour qui son père n'avait désormais plus d'importance, aimait grandement Sarah : elle était son être le plus cher, la plus précieuse à ses yeux. A l'école, tout semblait les différencier, tant le physique que le tempérament. Les deux frères ne se ressemblaient pas, et ne s'aimaient pas non plus. Alexandre comme David, ils se considéraient comme fils unique, et n'avait soit ni père, soit ni mère. Ils vivaient tout deux dans un monde opposé, le premier dans la dureté et l'orgueil de son père, le second dans la douceur et la candeur maternelle. Si une chose les unissait, c'était le mépris qu'ils avaient l'un pour l'autre. Ce train de vie aurait pu continuer encore des années. Alexandre, enfant pourri-gâté de son père, et David, petit protégé de sa mère. Il aurait pu…si Sarah n'était pas morte.

La jeune mère avait été vue en compagnie d'un valet de chambre, qui n'était autre que son amant. La rumeur avait fait rapidement fait le tour du château, atteignant aussi l'oreille de quelques voisins bourgeois ; "Sarah trompait son époux...oui, avec un domestique !". Le fait qu'elle soit la maîtresse d'un autre ne dérangeait aucunement Pierre. Après tout, il ne l'aimait pas, et il n'avait aucune attirance pour elle ou toutes autres femmes qu'il soit. Non, ce qui le frustra au plus haut point, ce fut que cela éclata au grand jour, et qu'il était humiliant pour sa réputation d'avoir une épouse acoquinée avec un misérable valet. Les comptes se réglèrent au salon privé, deux jours après la scène. David était alors âgé de 5 ans. Il n'y avait que Sarah et Pierre, celui-ci ayant demandé à ce que personne ne les dérange. Le petit garçon était présent, dissimulé derrière un rideau dans la salle seulement illuminée par le feu de la cheminée. Il se séparait rarement de sa mère, et malgré les interdictions de celle-ci, il avait réussit à se faufiler discrètement à travers la pièce, ignoré de tous. Il était impatient, excité, effrayé à la fois : le genre de comportement qu'a un enfant sage lorsqu'il transgresse une règle. Mais lorsque le premier coup partit, frappant violemment Sarah, son cœur s'arrêta.

Ding…dong…ding…dong…

C'était le bruit des douze coups de minuit, qui résonnaient tel un tambour sur le château.

Ploc…ploc…ploc…

C'était le bruit du sang de sa mère, qui s'écoulait doucement sur le sol, faisant une petite mare rouge sur le parquet jaunit.

Le corps bleuit, les bras sanguinolents, elle avait la tête posée sur le bureau, à côté d'une chandelle émiettée de tâches de sang. Elle était morte. Pierre l'avait battu jusqu'à ce qu'elle ne bouge plus, jusqu'à ce qu'elle ne respire plus. Malgré les cris de Sarah, personne n'était intervenu. La porte était restée constamment fermée, et régnait à présent dans le manoir un silence de mort. Les bonnes, les cuisiniers, les valets, tous les domestiques savaient ce qu'il allait se passer. Et personne ne disait rien, tout le monde était trop lâche pour dire quoi que ce soit ; même en entendant les bruits de l'abominable scène, ils n'avaient rien dit, se contentant d'oublier les cris. David avait tout vu et tout entendu. Il n'avait rien perdu. Tapit dans l'obscurité, ses yeux d'enfant avait vu cette immense ombre tuer la seconde, la frappant de toute part. Il avait entendu les coups qui se répétaient sans cesse, le déchirement des os, les cris de désespoir. David avait tout vu et tout entendu.

On jeta le corps dans le lac, à quelques kilomètres du manoir. Quant à l'amant de la défunte, il la rejoignit bientôt, après avoir été tué tout aussi violemment. Pierre annonça que son épouse et son valet avaient été bannis du château, et qu'ils erraient à présent dans un endroit dont il n'avait aucune idée. Cela, bien sûr, était la version officielle : il paya généreusement les domestiques, la police, et tous ceux qui auraient pu lui faire tort, et l'affaire fut bouclée. Mais pas pour David. Ce soir là, le 30 Juillet, à minuit, quelque chose en lui s'était brisée. Un sentiment infect, fourbe naquit dans son esprit ingénu : la vengeance.

Les années passèrent. Personne ne su que David avait été témoin du meurtre, et celui-ci s'était considérablement renfermé. Il parlait peu, et se débrouillait entièrement seul : il refusait toute aide de quiconque, que ce soit les maîtresses d'école autant que les gouvernantes du manoir. Il étudiait sans cesse, passant son temps dans la bibliothèque des Patinkin. Son esprit, fin, devint extrêmement cultivé, et il ne tarda pas à dépasser son frère en ce qui était du niveau scolaire. Pierre, irrité que ce second devance ainsi son premier, lui interdit toute sortie et l'accès aux salles de lecture, l'ordonnant de rester dans le manoir. David enfreignit plusieurs fois ces règles et fut puni sévèrement. Il cessa au bout du deuxième mois, trouvant une occupation bien plus intéressante ; la magie. En effet, ce fut à ce moment là que le garçon découvrit ses pouvoirs. Cela arriva par hasard, alors qu'il tentait d’atteindre un livre en se mettant sur la pointe des pieds. Par la pensée, l’objet se déplaça lentement avant de tomber lourdement sur le sol, ainsi à la portée de l’enfant.

Il n'en parla à personne, s'entraînant secrètement. Chaque jour, chaque nuit, il se consacrait à cette nouvelle découverte. Bien que toujours d'un excellent niveau scolaire, il se vouait à présent peu à ses études. A vrai dire, l’utilisation consciente de ses pouvoirs était un échec, et David s’en trouvait fort dépourvu, s’enfermant dans sa chambre, ne mangeant plus, ne buvant plus, cela tournant à l’obsession. Ce fut alors qu’il reçu une lettre plus qu’étrange, il était question d’ange, de pourvoir, de magie ? ! Sans doute cela aurait-il été le plus beau jour de sa vie, le fait de savoir que finalement, il n’était pas de ce monde qu’il haïssait tant, qu’il partirait loin de cette ignoble famille, qu’il pourrait enfin se consacrer entièrement à ses dons magiques et à y exceller. Seulement il ne savait pas comment s’y prendre pour partir d’ici, le manoir était devenu une véritable prison. Mais décidé à partir de cet endroit morbide, il y mis toute sa volonté et finit par errer dans les bois avoisinant le manoir. Il courut aussi longtemps que ses jambes le portèrent. Il finit par s’écrouler, mort de fatigue, plus aucun de ses membres ne répondant. C’est dans cette forêt humide et sombre que son mentor lui apparut dans une leur blanche éclatante.

Il fut emmené dans un endroit où tous étaient comme lui, enfin presque… Il put y étudier autant qu’il voulu avec en plus de cette liberté, l’aide de cette personne qui l’avait recueillit. Le seul changement auquel il dut faire face se fut ce nouveau prénom : Nerewyn. Il s’y habitua rapidement et étudia pendant de longues années devenant toujours plus cultivé et puissant. En bref, les choses évoluaient en bien, hormis bien sûr le fait de ce meurtre d’antan que jamais David n’oublia et dont le désir de vengeance, malgré les temps paisibles, devenait de plus en plus ardent.

Et ce désir put un jour s’exprimer librement. Il y avait presque six ans qu’il n’avait pas revu son frère jumeaux et il profita d’un temps libre qu’il avait pour lui rendre une petite visite. C’était le soir du 11 Décembre, et tout commença précisément dans un village non loin de l’école où Alexandre étiudiait. En échange de quelques pièces dans une taverne mal famée, Alexandre avait ingurgité une bonne dose d’alcool, à présent complètement soûl, ses compagnons faisant de même. Il riait de n’importe quoi, parlait sans vraiment savoir ce qu’il disait ; il se ridiculisait mais cela amusait grandement les clients. Mais voilà qu’Alexandre, toujours sur l’effet de l’alcool, commença à parler irrespectueusement de sa famille, d’abord de son père, puis de son jumeau…pour en arriver à sa mère. Le deuxième sujet ayant déjà grandement irrité David, le troisième fut celui qui fit déborder le vase ; prenant violemment son frère par le col, il sortit de l’établissement en le traînant à terre, s’enfonçant dans les ruelles nocturnes de la ville. Personne ne sût ce qui se passa réellement ce soir là. Mais le lendemain, à l’orée de la forêt, on retrouva le corps meurtri d’Alexandre Patinkin, marqué de coups, baignant dans son sang, battu à mort.

David qui venait de resurgir après six de disparition, fut immédiatement accusé, mais aucune preuve ne pu réellement l’inculper. Les citoyens comme les élèves furent choqués, abasourdis d’un meurtre si barbare. David reçu de nombreuses menaces, on l’insultaient ou l’évitaient, on le traitait de tous les noms, on le regardait avec frayeur ; mais il restait de glace face à tant d’animosité, il ne parlait aucunement, au grand malheur de tous. Son père fut ébranlé par la nouvelle, manquant de franchir les limites de la folie. Il savait que son second avait tué son premier, il l’avait lu dans son regard lors de l’enterrement, il le devinait derrière son silence angoissant, et il comprenait bientôt que David n’était pas ignorant du triste sort de sa mère. C'était une vengeance, une vengeance contre lui, son père : il lui avait enlevé ce qu'il avait de plus cher, son fils avait fait de même.

David disparut à nouveau quelques jours plus tard et ne revint jamais dans cette région maudite et marquée par sa douleur. Finalement Pierre n’avait plus aucun héritier pou sa grande famille et le fait d’avoir abattu son soit disant père au point qu’il aille se suicider quelques heures après son départ ne faisait qu’alléger le cœur de l’ange. Sa mère était vengée et pouvait à présent reposer en paix loin de cet homme qui brûlait à cet instant en enfer.

Voici se qu’il se déroula les 17 première années de sa vie, 17 années gâchées par des humains minables. Mais ces années là ne représentèrent plus rien face aux centaines d’années qui suivirent. Rien ? Non pas vraiment. 17 ans qui ne sortiraient jamais de l’esprit et du caractère sanglant de Nerewyn.

Les années s’écoulèrent amenant un nombres incalculables de découvertes renversantes, la dernière fut sa petite sœur Méhona. Confiée par leurs créateurs, il lui fut dit la vérité sur l’enfant qu’il se refusa à considérer comme sa demi sœur. Non il l’éleva certes à sa manière mais avec l’amour d’un grand frère. Il ne pouvait plus la quitter et, de toutes manières, la gamine ne le lâcher plus. Les années qu’ils passèrent ensemble furent certainement les plus belles de l’ange et il arriva à regretter qu’elle grandisse si vite. Oui car passé 11 ans elle devenue bien plus compliquée à gérer mais globalement il s’en sortit sans trop d’égratignure. Enfin, il y avait bien un événement qu’il n’avait pas vraiment contrôler et qui resterait à jamais gravé dans la mémoire de sa petite sœur, tout comme lui…


Signe particulier : Il porte une chaîne d'argent autour du poignet droit, où le nom de celui à qui il avait appartenu s'est effacé avec le temps. Dessus, il y a d’étranges marques rouges, le bijoux vient inéluctablement de Klomnia mais personne de sait à qui il était, à part Nerewyn lui même qui garde un secret absolu sur ce point.

Magies : Blanche et rouge. (Pour les pouvoirs spéciaux ils sont secrets pour le moment, on verra si je m’en sers en RP.)

Arme(s) : Toutes armes blanches quelque elle soit.

Divinité : Râ

Ami/Ennemi : Alors puisque tout marche à l’envers avec moi allons y ça va être du gâteau.
En apparence ses amis sont les anges, les elfes et tout être du côté du bien. Ainsi ses ennemis sont évidemment les membres de sa famille, les anges, les elfes noirs, tout comme les races originaire de Klomnia.
Ceci dit, prenez à présent l’inverse de tout ce que je viens d’écrire et vous aurez la réalité, réalité cependant légèrement (voir beaucoup) dissimulée.